"Sans même nous dire au revoir", Kentarô UENO chez Kana, 2011
Kentarô Ueno met en scène un événement autobiographique : la perte de son épouse. De santé fragile, asthmatique et dépressive, Kiho et Kentarô s'aiment. Bien que lucide sur l'état physique et mental de Kiho, il ne cessera de l'entourer tout en continuant son activité de mangaka pour laquelle elle l'encourageait.
Jusqu'au moment fatal où Kentarô va sombrer dans le chagrin.
Voici un manga très touchant qui, avec un sujet universel, nous fait découvrir des aspects de la culture japonaise ; par exemple, la récupération par les membres de la famille des petits os de la défunte qui auront résisté à la crémation. Oui, c'est loin d'être joyeux mais ce manga n'en est pas moins réussi.
A découvrir.